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French text
Contenuto: Il est très facile de dire que le paysage doit être protégé, que les valeurs exprimées par le territoire doivent être conservées, que les interventions doivent être de qualité. Et qu'il faut respecter le contexte. Le problème est de savoir comment traduire ces idées dans la pratique. Présentées de la sorte, il s'agit d'affirmations apodictiques qui ont tout au plus le mérite caché de vouloir bien faire, mais elles ne résolvent pas le problème des pouvoirs publics qui sont appelés à dire « ce qui » doit être réalisé et « comment » le réaliser.
Même les manuels s'avèrent peu utiles. Ils ne le sont ni pour construire un bâtiment ni, à plus forte raison, pour apprécier la complexité d'un thème comme celui du paysage qui diffère d'un point à l'autre, d'un lieu à l'autre et qui, tantôt se définit principalement en fonction de la composante naturelle, tantôt en fonction de la composante de la stratification historique. Les manuels, tous les manuels, ont le défaut de ne donner qu'une image possible de la réalité et si on se limite à les utiliser précisément comme des manuels, sans faire preuve du moindre esprit critique, ils peuvent avoir des effets désastreux, et engendrer la répétitivité et l'aplatissement de la capacité expressive, au lieu de permettre une véritable compréhension de ce que l'on est en train de projeter. D'autres domaines et d'autres disciplines abandonnent eux aussi peu à peu le chemin des normes prescriptives pour se tourner vers les normes plus performancielles. Et si ce n'est pas le cas du paysage, cet exemple veut signifier que l'époque des règles uniques et de l'application univoque est révolue, que l'époque du « livre de recettes » est terminée; la tendance actuelle privilégie la formulation d'orientations et la définition de critères pour atteindre certains objectifs, basées avant tout sur une approche cognitive.
L'esprit du « Rapport paysager » contenu dans le D.P.C.M. du 12 Décembre 2005 va principalement dans ce sens. Mais on ne peut prétendre que le Journal Officiel produise un traité, ou l'idée qui sous-tend l'action institutionnelle qui a avancé la norme. La présente publication, la première de la série, se propose d'expliciter le sens et le contenu du dispositif, tels qu'ils ont été conçus au fil des travaux préparatoires à la rédaction de l'instrument normatif.
L'objectif principal du D.P.C.M. est de fournir des indications quant aux différents modes de lecture du paysage et, par conséquent, aux différentes manières de projeter les transformations (à toutes les échelles et pour tous les types d'intervention); l'instrument normatif oblige à une réflexion sur la nécessité de projeter à l'intérieur du contexte et non pas sur le contexte, sans superposition acritique, voire brutale, à cet ensemble de nature et d'histoire qui a produit ce qu'aujourd'hui nous appelons « paysage ».
Ce qui fait la différence, c'est la connaissance, la reconnaissance des lieux pour ce qu'ils sont, l'appréciation des valeurs de l'histoire et de la nature. Ce qui fait la différence, c'est la volonté de projeter les transformations et non de les introduire, c'est la prise de conscience que ce territoire stratifié est une ressource pour le Pays.
C'est pourquoi il faut rechercher des critères plus uniformes et partagés de tous, avec la collaboration des Régions dont le rôle fondamental est de spécifier et d'approfondir les thématiques et les indications en fonction des caractéristiques du territoire qui leur est propre. Une telle collaboration entre État et Régions, toujours annoncée et presque jamais réalisée, est importante car elle offre la possibilité de définir des formes d'intégration verticale et horizontale des politiques paysagères, et permet aux pouvoirs publics de se doubler d'une fonction didactique/pédagogique, à tous les niveaux, pour affirmer l'idée d'une qualité paysagère diffuse, à laquelle la population participerait en se prononçant concrètement sur les choix à faire. Il s'agit d'une exigence qui dépasse les frontières italiennes et touche d'autres Pays, comme le prouvent les études préliminaires à la rédaction du D.P.C.M.
Nilda Valentin (a cura di)
€ 30,00
Marisa Tabarrini
€ 35,00
Ruggero Lenci
Prefazione: Franco Purini
Introduzione: Alessandra Muntoni
Contributi di: Chiara Belingardi, Luna Kappler, Gianluigi Lerza, Claudia Mattogno, Elena Paudice
€ 45,00
Alessandro Piva (a cura di)
€ 26,00
Claudia Mattogno (a cura di)
Con saggi di: Antonio Cappuccitti, Paolo Colarossi, Ruggero Lenci, Elio Piroddi, Piero Ostilio Rossi
€ 30,00
Maria Cristina Forlani (a cura di)
Contributi di: Maria Cristina Forlani, Michele Lepore, Luciana Mastrolonardo, Donatella Radogna, Alberto Ulisse, Albero Viskovic
€ 28,00
Jacopo Benedetti (a cura di)
Con Saggi di: Davide Dimodugno, Angelo Santitoro, Jacopo Benedetti, Roberto Canu, Caterina Parrello, Giuseppe Giccone, Valerio Pennasso, Dario Vitali, Andrea Longhi, Wittfrida Mitterer, Marcello Brunini, Luigi Bartolomei
€ 28,00
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